Optimisation des suivis

Une partie des mes travaux consiste à optimiser les suivis menés dans le cadre de programme de conservation ou par des acteurs de la gestion de l’environnement. Cela peut passer par des travaux d’évaluation critiques de protocoles en place, de validation de méthodes nouvellement développées dans des contextes spécifiques ou par la mise en oeuvre d’études-pilotes servant ensuite de base à des tests de puissance pour calibrer des suivis optimisés .

Cet axe est celui qui génère le plus de liens avec les acteurs de la gestion/conservation en France mais aussi assez récemment en Afrique. C’est par exemple initialement sur l’évaluation de leurs pratiques des suivis que j’ai commencé à travailler avec l’ensemble des parcs nationaux français. Ce premier travail critique a généré alors des collaborations avec plusieurs parcs pour remettre à plat certains suivis, ou explorer de nouvelles options.

A travers ces questions je travaille donc avec les parcs nationaux, plusieurs conservatoires d’espaces naturels (PACA, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Poitou-Charente), des CNERA de l’ONCFS (notamment sur les perdrix, ou les galliformes), des plans nationaux d’action ou des programmes LIFE (notamment vipère d’Orsini, tortue d’Hermann, lézard ocellé, Emyde lépreuse), mais aussi des bureaux d’étude, des associations naturalistes, des DREALs, l’ONF, etc.